Autoproclamé « dictateur le plus cool du monde » ou encore « CEO du Salvador » sur son compte twitter1, le président Nayib Bukele a multiplié les assauts contre les institutions démocratiques et l’indépendance de la justice. Après s’être assuré sa mainmise sur le Parlement, le jeune chef d’Etat a décidé de faire du bitcoin la nouvelle devise de son pays sans véritables consultations populaires et législatives. Comment se dessine alors l’avenir de la démocratie au Salvador ?
Entre bitcoin et autoritarisme, la menace du « bukelismo » au Salvador
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